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Simon Lahitete accompagne la communication scientifique

Quand Simon Lahitete travaille au développement de la communication scientifique sur le territoire de Nouvelle-Aquitaine

 

Simon Lahitete et le développement de la communication en Nouvelle-Aquitaine.

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© Wikipédia.

 

Simon Lahitete est tombé dans la marmite de la communication scientifique… un peu par hasard !

D’une licence de langue à Cap Sciences

Au départ, il a commencé par une licence de biologie, spécifiquement en virologie. En effet, Simon était d’abord intéressé par la Recherche. Dans cette optique, il a réalisé un stage d’observation dans un laboratoire. Malheureusement, il n’est pas forcément tombé sur les bonnes personnes et les étudiants rencontrés l’ont bien démoralisé. Il n’a donc pas cherché à continuer dans le monde de la Recherche.

Outre les sciences, Simon aimait aussi beaucoup les langues, en particulier le japonais. C’est donc avec une licence d’anglais-japonais qu’il continuera ses études de communication et il renouera finalement avec le monde des sciences lors de son stage de M2. En effet, Simon a intégré Cap Sciences, au service marketing. Il était stagiaire assistant marketing, et itinérance. C’est donc par cette porte qu’il a rejoint la grande famille de la communication scientifique.

 

Du service marketing à l’animation territoriale des acteurs de la CSTI

Après son stage, Simon a fait diverses petites missions jusqu’à finalement obtenir un poste plus pérenne sur l’animation territoriale pour enfin rejoindre l’association NACSTI (Nouvelle-Aquitaine Culture Scientifique Technique et Industrielle), fondée par les 4 centres de culture scientifique de Nouvelle-Aquitaine, en janvier 2020.

Au sein de ce dispositif, ses missions sont d’accompagner la gouvernance, en lien avec les directeurs (Comité de Pilotage), de suivre les différentes instances qui composent la NACSTI et le volet opérationnel et de déployer différents projets régionaux, tels qu’EchoSciences Nouvelle Aquitaine, des appels à projets PAI (Programme Animation Initiative des Actions de CSTI). Ce dernier programme permet d’accompagner des projets de médiation scientifique sur toute la région. Il participe également un peu à Curieux! et à l’organisation du Club Méd’iation, forum régional de CSTI.

Simon travaille aussi avec les équipes des 4 Centres de Culture Scientifique Technique et Industrielle (CCSTI) de Nouvelle-Aquitaine en fonction de leurs compétences et des besoins sur les projets.

 

L’engagement de Simon Lahitète dans la communication scientifique à travers EchoSciences

La communication scientifique, essentielle aujourd’hui

La communication scientifique est-elle essentielle ? Il semble bien que l’actualité parle d’elle-même. La science est au cœur de tout. Elle est importante pour comprendre le monde dans lequel nous évoluons, pour le préserver et faire en sorte de vivre dans une société qui fonctionne.

Il est donc important, pour tout.e citoyen.ne, d’avoir un minimum de connaissances scientifiques. Cela permet de se forger une vision politique raisonnée et réfléchie. Pour Simon Lahitete, c’est donc le rôle des acteurs de la communication scientifique d’accompagner les citoyen.ne.s dans cette compréhension du monde. Dans son travail, cela se traduit en partie via la coordination des PAI, l’accompagnement des structures ou encore l’accompagnement de projets cohérents et utiles.

 

EchoSciences Nouvelle-Aquitaine, un réseau territorial d’acteurs de la communication scientifique

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© EchoSciences Nouvelle-Aquitaine

EchoSciences est un réseau territorial qui existe depuis presque 10 ans maintenant (5 ans en Nouvelle-Aquitaine). Ce réseau se découpe en différentes instances régionales (Nouvelle-Aquitaine, Bretagne, Grenoble…). Chacune est gérée par des structures différentes, avec ses propres objectifs.

Pour l’instance de Nouvelle-Aquitaine, il s’agit surtout d’animer la communauté des acteurs de la culture scientifique dans la région. Les partenaires s’inscrivent, référencent leurs actions, proposent des événements, partagent leurs ressources… L’objectif est vraiment d’avoir une plateforme qui montre toute l’étendue de la culture scientifique en Nouvelle-Aquitaine et d’accompagner les acteurs en leur donnant de la visibilité. Une telle plateforme vise à mettre en valeur la culture scientifique de Nouvelle-Aquitaine, notamment auprès du grand public et des élus. Une bonne façon de donner envie d’accompagner les acteurs de leur territoire.

La cible principale de la plateforme reste la communauté des acteurs (donc plutôt une cible B2B). Il s’agit de créer un réseau, d’aider à la communication et de permettre aux différents acteurs de se rencontrer et pourquoi pas de créer des partenariats. Des actions sont également organisées à destination du grand public. La plateforme communique sur les agendas et leur fait connaître les acteurs de communication scientifique proches de chez eux.

 

Les missions de Simon Lahitete pour la plateforme

Un groupe de travail existe au niveau de l’association NACSTI. L’objectif est de permettre d’accompagner les acteurs dans la prise en main de la plateforme, de modérer les contenus, d’aider aux publications et à la communication des événements (titre, mise en page, visuels…). Le but est de proposer des contenus aussi qualitatifs sur le fond que sur la forme.

Au niveau national, des comités de pilotage sont organisés pour travailler différents sujets, comme l’ergonomie du site « général » d’EchoSciences et les différents développements à mettre en place. Chaque instance régionale donne ses suggestions et ses besoins. Toutes les plateformes sont en effet liées. il faut donc réussir à travailler en bonne intelligence pour développer les fonctionnalités qui conviennent au plus grand nombre.

De son côté, outre ces instances de pilotage, le groupe de travail s’occupe de toute la communication numérique d’EchoSciences Nouvelle-Aquitaine. Il chercher à trouver des actions pertinentes, permettant de faire découvrir les acteurs de CSTI en Nouvelle-Aquitaine et de faire connaître l’outil aux acteurs et aux élus. Son objectif est vraiment de permettre à tous de se rendre compte de ce qu’il se passe sur le territoire.

Pour Simon Lahitete, ces actions lui permettent de progresser et de monter en compétences. Il apprend beaucoup de choses, il découvre sans cesse de nouveaux acteurs, de nouvelles actions… Ce travail lui donne donc une vision plus globale de la communication scientifique. Simon a vraiment la sensation de se sentir utile.

 

EchoSciences Nouvelle-Aquitaine, un réseau qui se développe de plus en plus

La plateforme n’est pas encore exhaustive. Les acteurs des CCSTI n’ont, en effet, pas toujours le temps de renseigner leurs informations.

Avec les équipes, Simon consulte les agendas, les événements culturels… Si cela leur semble pertinent, ils contactent l’acteur pour les référencer. À travers les PAI, la plateforme peut aussi communiquer.

Ce qui est très valorisant, c’est de s’apercevoir que de plus en plus d’acteurs se rendent compte de l’utilité de la plateforme et se mettent à référencer eux-mêmes leurs événements. Actuellement, il y a une cinquantaine de contributeurs par mois, ce qui correspond à une centaine de publications chaque mois. La plateforme est donc en plein développement.

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© EchoSciences Nouvelle-Aquitaine

 

Un bilan très positif pour Simon Lahitete

Chaque année, la fréquentation augmente, avec de plus en plus de contributions et de contributeurs différents.

Ce développement est très positif et montre l’importance de cette plateforme, qui peut référencer le plus d’actions possibles. Elle est utile pour présenter tout ce que font les acteurs de la Nouvelle-Aquitaine en terme de communication scientifique. Elle montre aux élus que ces actions sont importantes et qu’elles sont réalisées par une grande diversités d’acteurs (bibliothèques, associations, enseignants, établissements scolaires…). La plateforme illustre bien tout le champs des sujets traités et leur importance au niveau de notre société.

Pour 2022, les responsables des plateformes EchoSciences espèrent pouvoir lancer un chantier sur la navigation mobile. Il faudra également faciliter et consolider le référencement des acteurs et de leurs actions.

Pour ce qui est de la communication scientifique, la priorité doit être mise sur les sujets d’actualité. Il faut accompagner les publics et leur donner des clés de méthodologie pour qu’ils développent leurs connaissances. Au vu de la complexité des sujets à traiter, il semble important de consolider les coopérations entre acteurs de culture scientifique. Idéalement en mutualisant les projets, et s’appuyant sur les compétences de chacun.

Tous ces efforts pour servir des objectifs communs : développer la culture scientifique en Nouvelle-Aquitaine et redonner confiance aux publics dans la Recherche et dans les sciences.

 

Connaissez-vous le réseau EchoSciences ? Que pensez-vous de l’intérêt de cette plateforme ?

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